Le mythe Easy Rider se perpétue dans une exposition à la Reggia di Venaria

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Le mythe Easy Rider se perpétue dans une exposition à la Reggia di Venaria

Vingt ans après The Art of Motorcycle, la grande exposition du Guggenheim Museum de New York qui a marqué un record absolu de fréquentation, Arthemisia et le Consortium des Résidences Royal Savoy dédient l’exposition au monde du deux roues Easy Rider, le mythe de la moto comme art. Une exposition organisée sous le patronage de la Ville de Turin, organisée par Luca Beatrice, Arnaldo Colasanti, Stefano Fassone et accueillie dans le Palais de Venaria dans les espaces de la Citroniera de la Scuderie Juvarriane jusqu’au 24 février 2019.

L’exposition Easy Rider raconte les épisodes d’une histoire extraordinaire devenue légende : entre style, vitesse, performance, la moto a alimenté le mythe du voyage, de la conquête de la liberté, de la solitude dans le paysage dont rien ne se sépare en le parcourant à deux roues.

Amarcord Easy Rider

Easy Rider est un symbole culturel, un mythe qui a traversé des générations entières, et comme l’a écrit un collègue « un manifeste artistique ». Easy Rider était l’un de ces films, peut-être le premier qui a inventé la moto comme mode de vie, comme passion pour le voyage et l’aventure. Mettant en vedette le film légendaire, Dennis Hopper, qui était le réalisateur principal, et son ami Peter Fonda, tous deux à bord de deux hélicoptères Harley Davidson sont devenus légendaires. Un film vraiment inoubliable comme la musique de Jimi Hendrix ou une Loup des steppes, « Né pour être sauvage » global.

Modèles exposés

De nombreux modèles de motos présentés à l’exposition évoquent des films mythiques, comme le hachoir De Easy Riderle Triumph Bonneville Ce Steve McQueen il conduisait La grande évasionparmi les motos de course la MV Agusta de Jacques Augustinla Yamaha de Valentino Rossi et la Ducati de Casey Stoner.

D’autres véhicules ne font qu’un avec le voyage et l’aventure : le légendaire Guêpe de Bettinelli qui ont parcouru 24 000 km de Rome à Saigon, les spéciales qui ont traversé le désert de sable du Paris-Dakar, et encore des pistes d’enduro, de trial, d’asphalte.

Plus de cinquante modèles de motos dialoguent avec des œuvres d’art contemporaines, entre références explicites et suggestions indirectes. Parmi les noms des artistes, Antonio Ligabue avec l’Autoportrait en mouvement (1953), Mario Merz avec Accelerazione = rêve (installation historique exposée dans divers musées depuis 1972), Pino Pascali avec 9 mètres carrés de flaques créées en 1967 par an plus tôt de la mort.

Alighiero Boetti, Rosso Guzzi et Rosso Gilera (1971), la grande sculpture Vejo de Giuliano Vangi (2010), les photographies inédites de Gianni Piacentino High Speed ​​​​Memories (1971-1976) qui témoignent de son activité dans les courses de sidecar et de la sculpture Course d’autoportraits (1991-1993). Un joyau authentique sont les peintures de Paul Simonon, ancien bassiste des Clash et collectionneur passionné de motos.

Des photographies, des images fixes et des affiches de films qui racontent l’histoire de la légende de la moto à 360 degrés.

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