Seat MÓ eKickScooter 65 : le test de la trottinette électrique

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Seat MÓ eKickScooter 65 : le test de la trottinette électrique

Moteur

350W

Pleine vitesse

20km/h

prix

799 euros

Après un petit test à Vérone, en septembre 2020, le Selle MÓ eKickScooter 65 c’était mon principal moyen de me déplacer dans Monza, la ville où j’habite. Et je dois dire que pour les déplacements urbains, s’ils sont utilisés à bon escient et en toute sécurité, en respectant les règles du code de la routeest un moyen qui peut être très utile.

Seat MÓ eKickScooter 65 : le recommanderiez-vous ?

Ce scooter mérite, car il est bien conçu, il est robuste et sûr, et s’il est utilisé correctement, il peut grandement améliorer la mobilité urbaine. Il est également assez amusant à conduire, grâce à 3 modes de conduite qui ne vont pas augmenter la vitesse maximale mais doser le couple en accélération, avec d’excellents résultats. De plus, selon la tradition Seat, il est toujours connecté et gérable par l’application.

Robuste veut aussi dire lourd, et donc je ne le vois pas comme un scooter à transporter entre le métro et le train, mais juste comme un moyen de micro-mobilité pour se déplacer dans sa ville. Personnellement je m’en servais pour aller chercher quelque chose au supermarché, pour aller à la librairie ou au parc : autant d’usages où ses 65 km d’autonomie suffisent amplement, et où l’épaule haute du pneu et la suspension sont bien appréciées.

PRO

  • Robustesse
  • Plaisir de conduite
  • Confort sur la plateforme
CONTRE

  • C’est assez lourd
  • Le freinage est un peu brusque
  • Temps de charge longs

Seat MÓ eKickScooter : design agréable et robuste

Juger de la conception d’un scooter électrique est difficile, mais chez Seat, je dois dire qu’ils ont réussi à le faire intéressant un produit comme celui-ci. En fait, le Seat MÓ eKickScooter 65 reflète pleinement le style de la marque catalane : sportif et jeune, avec une attention aux détails et à la sécurité. Je pars de ce dernier point, car l’un de ses plus gros défauts est aussi l’une de ses meilleures qualités. L’eKickScooter est vraiment très lourd, ce qui le rend un peu inconfortable à soulever pour le mettre, par exemple, dans le coffre, ou si vous voulez l’emmener dans le métro ou le train, c’est pourquoi il n’est pas né. Le poids élevé, cependant, est une indication de sa sécurité, car c’est un véhicule très stable. Le centre de gravité est déplacé vers le bas, et même lorsque vous freinez fort ou que vous accélérez aussi fort que possible en mode Sport, il ne se déséquilibre jamais. C’est aussi grâce à la vitesse maximale, ne jamais dépasser 20 km/h.

Seat Mó eKickScooter

La conception, comme mentionné, est plein d’attention aux détails. Comme tous les véhicules de la marque « MÓ », il joue sur le contraste entre un beau rouge vif et du noir. Le rouge domine la partie longue de la poignée, l’intérieur des pneus et les freins, tandis que tout le reste est en noir mat, un plastique rigide qui ne fait qu’augmenter sa résistance.

Seat Mó eKickScooter

Tout le noyau du Seat MÓ eKickScooter 65 se trouve sur le marchepied, qui est également la partie la plus lourde de l’ensemble du scooter. Et ici, comme je le fais toujours, je parle même d’un scooter Je me concentre sur le confort pour « watussi »: Je ne mesure pas seulement 1,94 mètre, mais aussi un 46 pieds, ce qui peut rendre difficile pour moi de rester sur l’un de ces véhicules. Sur lui, je vais bien, et je veux les deux pieds droits. Ou, comme dans la plupart des cas, en faisant un joli plie en hommage aux danseuses de ballet, comme vous pouvez « admirer » sur la photo.

À propos de ça, c’est comme ça qu’on va en scooter, et comme cela a été prévu par la Réforme du Code de la Route : avec le casque et, si possible, sur les pistes cyclables, puisque la vitesse n’est pas élevée. S’il n’y en avait pas, sur le bord de la route, sans gêner ni les voitures, debout au milieu, ni les piétons, debout sur le trottoir.

3 modes de conduite

Comme s’il s’agissait d’une voiture, le Seat MÓ eKickScooter 65 présente 3 modes de conduite :

  • Écho
  • Normal
  • sport

Comme je l’avais prévu, la vitesse maximale ne change pastoujours à 20 km/h, mais l’accélération. L’Eco préserve la batterie, donc il réduit considérablement le couple. La Sport fait le contraire en exploitant tout cela et en permettant des démarrages très rapides. Dans les occasions où personne n’était là, je me suis beaucoup amusé à prendre quelques clichés en avant, aussi parce que, je le répète, ne dépassant pas vingt à l’heure, il n’y a pas de danger.

Seat Mó eKickScooter

Les modes sont sélectionnés parmi ppetit système d’infodivertissement, composé d’un bouton circulaire et d’un écran LCD. Une double pression sur le bouton permet de passer rapidement d’un mode de conduite à l’autre. Le maintenir enfoncé allume ou éteint le véhicule. L’affichage a également des encoches qui l’indiquent état de charge. Plus d’informations peuvent être obtenues en connectant le véhicule à l’application « My Seat MÓ », disponible sur Android et iOS. La connexion est simple : connectez simplement le QR Code et enregistrez-vous, et à partir de là, gérez également les processus de charge.,

Le guidon est apprécié lors de la conduite, qui a une bonne prise en main, et le système de pneus et de suspension. J’ai peut-être de la chance, car làet les pistes cyclables de Monza valent mieux que ses rues (dans le sens où ils n’ont pas de trous) donc les amortisseurs n’ont pas été beaucoup mis à rude épreuve. Au centre en revanche, sur les pavés, j’ai apprécié la stabilité et le sentiment général de confort garantis par ce set-up, en restant toujours dans le cadre du scooter. Cependant, un minimum « d’effort » doit être fait : pour démarrer il faut donner deux ou trois poussées avec une jambe, car pour activer le moteur il faut avoir une vitesse minimum de 3 km/h.

Le « 65 » du nom indique autonomie de 65 km, et le distingue du Seat MÓ eKickScooter 25, avec une autonomie de 25 km. Pour un scooter 65 km suffisent vraiment, encore plus dans une ville comme celle de la Brianza qui est encore de petite taille. Aussi complice du freinage continu, il est difficile de décharger la batterie, qui se recharge en 6 heures. Peut-être un peu beaucoup, étant donné qu’il existe des scooters électriques avec une recharge plus rapide. Même si, cependant, c’est un moyen qui n’est pas utilisé constamment, et peut-être même pas tous les jours.

Il peut être utilisé la nuit à la place : il a un petit phare à LED qui s’allume automatiquement, et est très puissant, et possède 4 réflecteurs, deux par roue. Toujours pour augmenter la sécurité.

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